Voici ce que les résidents du bâtiment D, mais aussi tous ceux qui se rendent à l’espace détente, peuvent admirer depuis ce weekend :

Un bel étron posé juste au pied de la marche menant du parking au couloir.
Difficile de savoir qui est l’auteur(e) de cette œuvre magnifique, tant par sa consistance que par son odeur caractéristique, qui détonne quelque peu à cet endroit.

Alors ?

Visiteur indésirable à la digestion perturbée ou résident irrespectueux, soudainement pris d’une envie dont l’urgence l’a empêché de rentrer chez lui ?

Le saurons-nous un jour ?

Et bien, c'est simple : il suffit de les jeter dans les jardinières !  

C'est ce que certains résidents n'hésitent pas à faire lorsqu'ils viennent fumer à l'espace détente. Non contents de braver avec courage une interdiction (art. 8.4 du Règlement Intérieur), il ne leur viendrait pas à l'idée de ramener chez eux leurs mégots...

Heureusement que cette résidence comporte une majorité de personnes respectueuses et certains d'entre nous ont pris l'initiative de ramasser ces mégots et de les jeter à la poubelle.
Il nous faut les remercier pour leur geste.

Mais comme il fallait s'y attendre, ce n'est qu'un coup d'épée dans l'eau et, quelques jours plus tard, les mégots avaient repoussé comme par enchantement. Il faut dire qu'ici, sous les tropiques, tout pousse très vite ! 

Nous avons survolé ce sujet dans la newsletter n° 1 : chacun(e) d’entre nous a, au moins une fois, souffert de nuisances sonores, qu’elles soient diurnes ou nocturnes.

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La saison des pluies approche à grands pas et, irrémédiablement, son lot de moustiques avec.
Même si les efforts sont faits par le syndic pour des campagnes de démoustication (voir cet article) et d’entretien des zones végétalisées, il est aussi de la responsabilité de chacun d’entre nous de faire des efforts pour détruire les gîtes à moustiques dans les parties privées.

Nous n’allons pas ici reprendre les conseils de la campagne officielle du ministère de la Santé, mais rappelons tout de même que l’eau ne doit pas stagner sous les pots de plantes, que les récipients divers doivent être vidés et que les jardinières doivent être entretenues régulièrement.

Le Conseil Syndical et le Syndic s’efforcent également de sensibiliser les habitants voisins de la résidence, dans un proche périmètre.

Liens utiles :
La filariose
Rapport épidémiologique

La SOGECO a été fondée en 1999 et gère désormais environ 90 copropriétés et lotissements sur Tahiti et Moorea, dont la résidence LGL depuis 2015.

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